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DESIGNER

Le mobilier design d’Armando Locatelli (console, table basse, coiffeuse, miroir, verrier, siège, coffre) place dans l’espace un instant d’intimité.

Ces pièces ont la mémoire du temps : artisanales comme hier, hautement technologiques comme aujourd’hui, réalisées entre 1988 et 1994, elles invitent l’homme à une rencontre sensitive. 

Conçu dans des bois précieux (sycomore, poirier) ou dans des matériaux compressés (MDF), allié à des structures de fonte de métal ou de verre sablé, l’objet est objet.

La fonction est dessinée avec précision sans déferlement gratuit, elle respecte et poétise une histoire personnelle.

Alors s’ancre une très belle aventure, une aventure d’apprivoisement : entre douceur et fulgurance, le design appelle les mains sur le galbe de l’objet pour tracer de nouveaux souvenirs. 

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Hotel /

En attendant /

Shirampari /

Coiffeuse  /

Banderilla

Ariane dessinée à Genève, a décollé à New York !  Réalisée par un ébéniste américain en lien avec un technicien de la Nasa : Il est des histoires tellement magiques qu’il n’est pas besoin de les inventer.

Armando Locatelli a envoyé des plans d’une telle précision qu’il a découvert sa pièce le soir du vernissage à Manhattan. Ariane est depuis un verrier interstellaire, en toute simplicité !

Expos & Presse

Ariane

Cendrier / Vase 52ème rue

Coiffeuse Oblongue

Console Joséphine

En attendant

Goutte de métal

Lalla

Miroir d'un regard à l'autre

Shirampari

La proue en avant, le flanc traversé par la vitesse de la lumière. « Banderilla » c’est une table, une scène, une arène. Le javelot de lumière se fend au creux de l’abat-jour. Moment sévillan entre taureau et loup!

Sur la 52ème rue, choisir un cornet glacé, le manger ; le renverser et prolonger la gourmandise en un bouquet de fleurs ou en taffes de cigarettes.

Le plaisir, en vase ou cendrier, est toujours élégant et pluriel. Habiter à ses côtés, à hauteur de femme, est un privilège.

Cette coiffeuse est une amande colorée sur laquelle se dresse un petit miroir incliné. Attention danger. Trois flammes brûlent notre image et fragilisent la beauté.

Piètement galbé tel l’arc d’une jambe au féminin. Une console dont les reins s’appuient sur la transparence opaque de nos secrets.

Deux bougies scintillent.

Attend toute personne désireuse de prendre forme sur ses formes. Deux voyages ont été proposés sur cette voûte plastifiée : une version « noir-blanc » de corps féminins puis un deuxième voyage, à l’image, autour de la planète.

Un globe tactile, à visiter.

Cette pièce fait partie de la collection du Fond des arts décoratifs de la ville de Genève.

Siège dodu de velours noir au dossier de métal souple, strié d’histoires en reflets.
Une arabesque dans un seul geste. Une goutte de métal en fusion pour flamber tout salon sage.

Buffet sur pointes, étagère, dressoir, Lalla ne se définit pas c’est Lalla.

 

Seule ou en triptyque, elle incarne la fin des années 80 for ever. En multi-plis, de couleurs, de tiroirs et de secrets, elle est la petite sœur de cœur de Memphis.

Volute de bois de poirier pour des reflets chauds et glacés.
L’élan d’une image.

Shirampari c’est un des derniers sages de la forêt amazonienne. Métamorphosé en coffre, il veille jalousement sur vos secrets.

Dans ce coffre, des pinceaux de soie font barrage aux souvenirs.

Y glisser la main, c’est risquer le poids des mystères et toucher une lettre, un anneau d’or, ou quelques autres arcanes clandestines.

Hôtel c’est un autel pour une invitation au voyage. Mais aussi une respiration doucement décalée, à fleurs de bougies, dont le sacré serait un repos volé.

Hôtel

Pastels

Expo Fargeon

Expo New York, Studio Crettol Mayer

Presse

Expo Architeria

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